mardi 18 avril 2023

Histoire Vrai

.2023

HISTOIRES VÉCUES

"Je me suis débarrassée de toutes mes rides en 21 jours : maintenant, je ressemble à ma propre fille !"

En l'espace de 21 jours, je me suis transformée de vieille mémé ridée en une femme à qui on ne donnerait jamais plus de 35 ans. C'est formidable que chaque femme ait maintenant cette chance !

"Je me sens rajeunie d'une bonne trentaine d'années, en plus je me suis remariée et j'ai trouvé le bonheur. Et moi qui pensais que la vie ne m'apporterait plus rien de bon" raconte Christine Poulain (63 ans) de Sainte Maxime. Christine est l'une des premières femmes en France à avoir essayé la formule appelée "le secret japonais de la jeunesse". Découvrez le secret du traitement qui a libéré Christine de ses rides et qui peut également vous aider.

- Maman, mets-toi ça, prends soin de toi - me disait ma fille Anne, qui habite en Angleterre, chaque fois que nous nous rencontrions. Et elle m'apportait toujours de l'étranger de nouvelles crèmes, des masques pour le visage et autres merveilles.

Moi, pourtant, je mettais de côté sur une étagère tous ces remèdes magiques. Je me disais : "À quoi je vais bien pouvoir ressembler, moi, une vieille mémé ? Mes plus belles années sont déjà derrière moi". J'ai connu des moments merveilleux avec mon mari, j'ai élevé les enfants. - Il vaudrait mieux que tu me fasses une petite-fille plutôt que de me donner des leçons de sagesse - répondais-je à Anne en plaisantant.

Mais au bout d'un certain temps, j'ai arrêté de plaisanter et, en me regardant dans le miroir, j'ai dû reconnaître qu'Anne avait raison. Je m'étais terriblement laissée aller ces dernières années. J'avais des rides semblables aux sillons d'un champ labouré. Par ailleurs, c'est comme si le visage tombait, perdait sa forme d'autrefois. L'affaissement était tel que lorsque je pinçais les joues, je pouvais étirer plusieurs centimètres de peau.

En plus, ma peau avait une couleur terreuse horrible. C'est probablement parce que j'aime bien fumer de temps en temps. Et j'ai toujours beaucoup aimé les bains de soleil. Même si je savais que ce n'était pas bon pour la peau. Mais qui fait attention à ce genre de choses à 20 ou 30 ans ?

Mais c'est surtout un drame, survenu il y a 13 ans, qui a eu l'effet le plus négatif sur mon apparence...

Après la mort de mon mari, j'ai vieilli de 20 ans en l'espace de quelques mois.

Avec mon Richard, nous nous étions connus dès l'école technique. Il se trouve que tous les deux nous prenions l'autobus de Rouen. - Dès que je t'ai vue, je me suis dit "Voici ma future femme", affirmait par la suite Richard en souriant. Nous avons été heureux en ménage presque 30 ans. Jusqu'à ce jour tragique où nous étions assis à table après le dîner.

Richard a soudain touché son cœur, il s'est effondré pour ne plus se relever. Les secours sont arrivés trop tard. J'ai enterré mon mari le jour de mes 50 ans.

Tous mes projets de vie se sont effondrés comme un château de cartes. Avant avec Richard nous tenions un stand de légumes au marché municipal. Nous comptions travailler encore 10-15 ans, puis partir à la retraite et nous construire une petite maison en dehors de la ville. La parcelle était déjà achetée. Maintenant, inutile de songer à la retraite. Je me suis retrouvée seule avec le fonds de commerce et je dois travailler pour deux.

Après la mort de Richard, j'ai dû m'occuper seule de notre affaire commune.

J'avais peur de ne pas y arriver seule. Anne était encore étudiante à l'époque et habitait à la maison. Je ne pouvais pas baisser les bras. Je devais assurer à notre fille une vie décente.

3 fois par semaine, je me levais à 4h du matin et j'allais dans la vielle guimbarde de Richard réceptionner la nouvelle livraison. Et j'ajoute que j'ai toujours eu peur de conduire. Ensuite, je déchargeais seule les caisses. Je travaillais tous les jours sauf le dimanche.

Finalement, grâce à un travail acharné, j'ai réussi à maintenir le stand. Cependant, toutes ces difficultés ont fini par déteindre sur mon apparence. Toutes ces cigarettes fumées la nuit, le travail en plein air, le stress... sans compter le souvenir lancinant de Richard, les larmes versées sur l'oreiller. Après quelques mois d'une vie pareille, je faisais bien 20 ans de plus que mon âge.

- Christine, qui est cette vieille mémé qui te remplace sur le stand ? Tu as embauché une retraitée ? - me demanda une fois ma cousine lors d'une conversation téléphonique.

Il se trouve qu'une de ses amies avait acheté des légumes chez moi et ne m'avait pas reconnue... J'étais pétrifiée et ne savais quoi répondre. J'ai raccroché rapidement avant d'éclater en sanglots. - Si elles passaient par ne serait-ce que la moitié de ce que j'endure, leur mine serait 100 fois pire encore, pensais-je avec amertume.

Lorsque je regarde de vieilles photos, j'ai du mal à croire que je me sois autant négligée.

Et c'est ainsi que les années ont passé. Tout de suite après ses études, Anne a trouvé un excellent travail dans une société internationale et elle est partie en Angleterre. On parlait souvent au téléphone. Elle avait un bon poste et un bel appartement. Elle fit la connaissance dans sa société d'un garçon honnête, venant également de Pologne du reste.

Je ne pouvais pas faire honte à ma fille !

- Maman, ça y est ! Nous nous sommes fiancés ! Nous nous marions dans 6 mois ! - m'a annoncé ma fille au téléphone il y a un an, toute joyeuse. Je m'en réjouissais, bien sûr. Comme toutes les mères. Mais je me suis aussitôt demandée avec inquiétude :

− Quelle tête je vais avoir devant la famille, toute ridée que je suis ? Tout le monde regarde en général la mère de la jeune mariée. Mais je ressemble davantage à la grand-mère qu'à la mère d'Anne. Lorsque je me regardais dans la glace, on aurait dit que j'avais dans les 80 ans et non 62 ans.

J'imaginais comment la famille de mon futur gendre me regarderait avec compassion. Sa jolie maman, une femme distinguée (j'ai vu des photos). Et moi - une vieille sorcière. Je ne pouvais pas accepter cela. J'avais 6 mois devant moi pour y remédier.

Je voulais perdre quelques années, et je n'ai fait que jeter l'argent par la fenêtre.

Ma bataille a commencé. Je ne croyais pas qu'une crème ou un masque pourrait agir sur mes rides. Autant chercher à tuer un éléphant au lance-pierres... Je me suis décidée pour les injections de Botox. J'ai pris un crédit pour ça car je ne pouvais pas me permettre cette dépense.

– Cela va faire mal – m'avait prévenue la dame du cabinet de médecine esthétique, avant l'intervention. Et elle ne plaisantait pas ! J'avais les larmes qui coulaient sur les joues chaque fois qu'elle enfonçait l'aiguille. Et après - c'est comme si quelqu'un m'avait introduit sous la peau un fer à repasser brûlant.

La seconde femme devait me maintenir le visage car chaque fois que je voyais l'aiguille approcher, je tournais la tête. J'ai remarqué ensuite qu'avec la peur, je m'enfonçais les ongles dans la peau, jusqu'à la chair.

J'étais folle de faire tout ce cirque. - Du calme, toutes les femmes réagissent ainsi, me tranquillisait l'esthéticienne. – Du reste, il y a de la toxine botulique dans l'injection, alors c'est normal que ça fasse mal.

Pour parler franchement, cette découverte ne m'a guère rassurée.

Le pire était à venir. Contusions, hématomes, ecchymoses : j'ai eu droit à tout sur le visage. - Mon Dieu, Christine, qui est-ce qui t'a battue ? - s'inquiéta ma voisine effrayée en me voyant. J'ai pensé : - C'est difficile, mais je vais m'en remettre. Cela vaudra peut-être la peine.

Ce n'était pas le cas. Après avoir subi gonflements et apparition de contusions, même la moitié de mes rides n'avait pas disparu ! Par dessus le marché, les paupières et la commissure des lèvres commencèrent à tomber après l'intervention. Et à l'endroit où l'acide avait été injecté, il restait des lésions vasculaires.

J'ai même pris des photos pour leur faire un procès. Parce que j'ai perdu tellement d'argent, et au lieu d'améliorer mon apparence, je me suis défigurée encore davantage. Mais après je n'avais plus la force d'intenter un procès à ces charlatans.

Le Botox m'a coûté une fortune et je me ne suis pas débarrassée d'une seule ride !

J'ai été dévastée. Je pensais qu'il n'y avait plus d'espoir pour moi. Tout a changé le jour où j'ai rencontré une vieille amie au marché.

J'ai eu du mal à croire qu'elle s'était débarrassée de ses rides en 21 jours !

- Christine ! C'est vraiment toi ? - m'a appelée une voix familière au marché. C'était Yvonne, mon ancienne camarade de classe. Je n'arrivais pas à croire que ce soit elle ! Elle avait l'air d'une jeune fille. Son visage était lisse et radieux. C'est comme si le temps s'était arrêté alors qu'elle avait 30 ans – alors qu'elle en avait plus de 60 !

- Comment a-t-elle fait ? - me suis-je aussitôt demandée. Je sais qu'Yvonne n'était pas une petite sainte. Déjà au lycée technique nous allions à l'école en fumant. Et après les cours, on faisait la fête. Aurait-elle commencé à vivre sainement ? Ou alors peut-être avait-elle déniché un meilleur institut pour le Botox ?

- Rien de tout cela, ma chérie ! Il y a un an, mon fils m'a ramené d'un voyage d'affaires à Tokyo une formule super à base d'or à 24 carats. C'est un docteur qui l'a découverte, il voulait débarrasser sa femme de vilaines cicatrices après un accident.

- Et par la même occasion, il a conçu un remède qui supprime toutes les rides en 21 jours. Au Japon, apparemment tout le monde le claironne maintenant sur les toits. Je l'ai utilisé pendant 3 semaines – et mon visage est devenu lisse comme les fesses d'un bébé. Tiens, regarde, je t'ai écrit où tu peux te le procurer – me dit-elle en me tendant un papier.

− Mais attention, ma chérie – ajouta Yvonne en me regardant droit dans les yeux – dans les magasins, il y a maintenant plein de contrefaçons. Il n'y a qu'à un seul endroit que tu peux obtenir la formule originale.

J'avais du mal à croire tout cela. - Le Botox n'avait rien donné sur moi, et une formule avec de l'or allait, comme ça, m'enlever des années ? - Yvonne avait peut-être eu une opération et elle ne voulait pas l'avouer ? - pensais-je avec beaucoup d'hésitation.

Mais d'un autre côté, qu'est-ce que cela me coûtait d'essayer ? – Cela ne peut pas être pire que le Botox – pensais-je et je me suis décidée. Je pensais qu'avec cette découverte décisive à base d'or, j'allais dépenser une fortune. J'ai été surprise parce qu'en comparaison avec le Botox, c'était presque gratuit.

Les rides disparurent, comme sous l'effet d'une baguette magique.

Le premier soir après avoir appliqué la formule de remodelage pour le visage, j'ai senti un fourmillement délicat et agréable. En me levant le matin, j'étais sans voix. C'est comme si quelqu'un avait littéralement repassé mes rides de fumeur qui, depuis des années, me défiguraient la lèvre supérieure ł. Les rides autour de l’œil : pareil.

Je sentais que ma peau était ferme, agréablement tendue et douce au toucher. Les pores qui ressemblaient auparavant aux cratères de la Lune étaient devenus minuscules, presque invisibles. Je faisais au moins 5 ans plus jeune.

- Qu'est-ce que c'est ce miracle ? - me demandais-je, en appliquant à nouveau une couche de la formule.

Après 21 jours de traitement, je n'avais plus aucune ride sur le visage – exactement comme Yvonne me l'avait dit. Vraiment, c'est comme si on m'avait rendu la peau de mes 20 ans - mas plus belle, sans eczéma. De plus, le visage avait repris sa véritable forme - comme après un lifting, mais tout s'était fait naturellement.

Les mauvais "souvenirs" laissés par le Botox avaient également disparu. Les paupières et les commissures de lèvres cessèrent de tomber, tous les hématomes et les veines araignées avaient été absorbés. Je n'arrêtais pas de me regarder dans la glace. Je touchais tout le temps mon visage lisse et je songeais, remplie de doute :

Ma peau a rajeuni de 30 bonnes années en 21 jours

- Alors, Anne, tu es venue rendre visite à Maman ? - m'a demandé un jour la voisine, alors que j'ouvrais la porte de l'appartement. Elle m'avait confondue avec ma fille de 27 ans ! Une fois chez moi, j'ai sauté de joie.

Au mariage de ma fille, j'étais la dernière à quitter la piste de danse !

Je sentais une nouvelle force pour agir. Exactement comme si, avec les rides, on m'avait ôté des années de soucis. Lorsque ma fille m'a demandé d'aller en Angleterre deux semaines avant pour l'aider à préparer les noces, j'ai accepté sans hésiter.

Lorsqu'Anne m'a vue à l'aéroport, elle est restée sans voix. Elle s'attendait à voir arriver une vieille mémé fatiguée par la vie. Et je me tenais devant elle droite, radieuse et heureuse. Sans rides du fumeur, sans sillon profond entre les sourcils, sans aucun "souvenir" après le Botox.

- Maman, on dirait que tu viens de ce programme de TV où les femmes entreprennent la métamorphose de leurs rêves ! Mais sérieusement, dis-moi la vérité, tu as fini par utiliser ces crèmes que je t'avais achetées ? - me demanda Anne, en me regardant, étonnée.

J'ai souri d'un air mystérieux, mais je riais intérieurement !

J'ai aidé ma fille pour tout. Ensemble, nous avons choisi la robe et nous avons décoré la salle. J'ai aussi confectionné mon fameux gâteau. Les invités n'arrivaient pas à croire que j'avais cuit moi-même 10 fournées. La maman du jeune marié me demanda discrètement pendant la fête :

- Ma chère, comment faites-vous pour ne pas vieillir ? Moi, j'ai besoin de me ravaler la façade, et vous, on dirait une camarade d'Anne.

Il se trouve que la maman du jeune marié cachait de profondes rides sous une épaisse couche de maquillage. Elle n'en revenait pas que ce soir-là je ne porte ni poudre, ni fond de teint et que ma peau ressemble à celle d'une jeune fille.

C'est moi avec Anne peu avant la cérémonie de mariage

Tous les invités s'amusèrent jusqu'au petit matin. Mais j'ai été la dernière à quitter la piste de danse. Toute la soirée, j'ai dansé avec une nouvelle connaissance, Eugène, l'oncle du jeune marié.

- Je ne pouvais pas détacher mon regard de toi. Tu étais différente de toutes les femmes de la soirée. Ton sourire radieux m'a conquis. Tu étais aussi radieuse qu'une étoile ! – m'a-t-il avoué plus tard.

On peut trouver le bonheur à n'importe quel âge.

Eugène commença à me faire la cour, mais au début je l'ai repoussé. - Pour quoi faire ? Je me débrouille très bien toute seule - me disais-je. Mais Eugène était tenace. Pour l'anniversaire de notre rencontre, il débarqua chez moi, à la maison, avec une bague. – Tu veux illuminer ma route jusqu'à la fin, mon étoile ? – me demanda-t-il en s'agenouillant dans l'entrée. J'étais muette d'émotion. Mais j'ai fini par articuler un mot : oui.

Nous envisageons ensemble l'avenir avec optimisme.

Lorsque je pense que si je n'avais pas écouté Yvonne ce jour-là au marché et profité de la formule de remodelage, j'aurais perdu une si belle occasion d'être heureuse. Car le bonheur peut nous arriver à n'importe quel âge. Il faut simplement lui ouvrir lorsqu'il frappe à notre porte.

Claudine Sarlat a écouté Christine Poulain

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